Atelier n°3 avec Simone Découpe

Lundi 11 mars

Nous accueillons une nouvelle fois Simone Découpe dans le cadre du projet Cabinet de Curiosités avec nos 5D. Mesdames Rayot, Trimaille, Lepera et Lloret accompagnent les élèves dans cet atelier.

Pour se remettre dans le bain, Mme Lloret présente aux élèves un ouvrage sur les Cabinets de curiosités :

https://www.actes-sud.fr/catalogue/jeunesse/cabinet-de-curiosites

ce sont des lieux considérés comme les ancêtres des musées, on y accumulait divers objets d’origines hétéroclites. Les pièces imposantes étaient accrochées au plafond, notamment les crocodiles, incontournables du genre (Simone nous a d’ailleurs préparé une surprise !).

Nous feuilletons le livre qui nous rappelle la disposition des cabinets avec l’exemple de celui de Rodolphe II, la présence des squelettes et fossiles, d’animaux empaillés, de coquillages, insectes sous cadres, de chimères et autres mystifications telles les licornes, des herbiers, pierres précieuses, objets ethnographiques, armes et bien sur objets de sciences. Le champ est vaste !

Les élèves peuvent -comme cela se fait dans les musées- faire un prêt d’objet dans le cadre du projet, par exemple une pierre ou un fossile qu’ils ont pu trouver.

Concernant cette cession, les élèves reprendront le travail sur les insectes qu’il faut à présent mettre en volume par du fil de fer

En parallèle un groupe reprend les gravures pour les légender au tampon. On peut utiliser des consonances latines avec un nom d’espèce en majuscule et le second en minuscule.

Un dernier groupe poursuit le travail de découpe au scalpel.

Timéo s’arme de patience pour découper un superbe corail !

 

A la fin de la journée certains éléments sont placés sous cadre et sous globe :

MErci Simone pour cet atelier et à bientôt !

 

 

 

Atelier n°1 Komorebi

Le jeudi 7 février 2019, les élèves de la classe de 3A ont travaillé de 10h à 12h avec le duo vocal féminin Komorebi dans le cadre du projet sur la femme.

Komorebi signifie en japonais « les rayons du soleil filtrant à travers les feuillages des arbres ». Ce duo lumineux, c’est l’union de deux jeunes filles, Claire et Clara qui explorent l’univers des intraduisibles par la musique.

 

Tout d’abord, les deux jeunes artistes ont évoqué brièvement leurs parcours professionnels.

 

Après un échauffement vocal sur le chant « Ella, elle l’a » de M. Berger étudié en cours d’éducation musicale, Claire et Clara ont présenté leur chant Mangata.En suédois, ce mot désigne « le reflet du clair de lune sur l’eau. »

 

Puis les élèves ont commencé l’apprentissage du chant MANGATA en version acoustique puis avec la bande son d’un accompagnement réalisé par ordinateur (M A O). Travail sur l’articulation, sur le texte, sur les nuances avec des jeux de questions-réponses. 

https://youtu.be/YD2yvWCM5hc

Et, cette séance musicale s’est achevée sur l’évocation du travail d’écriture à réaliser par les élèves lors des prochaines séances et du lien poétique entre la lune et la femme.

 

 

 

 

EPI « Non au harcèlement »

EPI « Non au harcèlement »
Dans le cadre des enseignements pratiques interdisciplinaires, le collège a travaillé sur la thématique du harcèlement scolaire. Plusieurs enseignants (Mme FAYS, Mme NGONGANG, Mme BREITEL, Mme FAIVRE) mais également Mme BRANGARD (Infirmière) et M.MEDDOUR (CPE) ont participé à ce projet avec tous les élèves du niveau 4ème(2017-2018) et les membres de l’atelier théâtre.
Le mardi 14 novembre 2017, la compagnie théâtrale des trois sœurs est venue effectuer une représentation de sa pièce intitulée « sales gosses » inspirée d’une histoire vraie survenue à une jeune fille de 11 ans. Après la séance, un questionnaire a été distribué et un échange a eu lieu entre les élèves et les intervenants de la pièce.
Durant l’année scolaire (2017-2018), les élèves ont crée plusieurs affiches autour de ce thème en étroite collaboration avec Mmes BREITEL, FAIVRE et NGONGANG.
Pour finaliser ce projet, les élèves de l’atelier théâtre piloté par Mme FAYS ont réalisé un clip avec la participation active de l’Espace Multimédia GANTNER. Cette année, le collège s’est inscrit au concours national pour le prix « Non au harcèlement » qui distingue les affiches et vidéos contre le harcèlement scolaire.

 

La vidéo :

 

 

https://youtu.be/97rOT2tRW4Q

Samir MEDDOUR

Projet « Femmes : de quel genre êtes-vous ? »

Mardi 22 janvier les élèves des trois classes de 3eme du collège Lucie Aubrac de Morvillars ont reçu Amela Kusuran, étudiante à l’UTBM (Université de Technologie de Belfort-Montbéliard) dans le cadre d’un projet sur la question des femmes dans la société.

  1. Parcours

Amela a eu le déclic pour son orientation en 4ème grâce à l’intervention d’une conseillère d’orientation qui lui a donné envie de découvrir le métier d’ingénieur, domaine jusqu’alors inconnu. Ce but l’amène à choisir le lycée, une filière scientifique avec option maths. Ensuite deux ans de classe préparatoire intégrée avant de suivre le cursus de génie mécanique et conception de l’UTBM.

Ce département permet d’apprendre la conception de pièces en automobile, aéronautique, aérospatiale, il s’agit de comprendre la mécanique des structures, de les concevoir de façon virtuelle ou réelle.

Après un 1er stage chez un équipementier automobile en tant qu’assistante ingénieure, Amela se tourne pour son 2eme stage en spécialisation en matériaux (travailler les composites, leur conception). Son gout pour la physique et la chimie la conforte dans ce choix. Le prochain stage sera justement sur les matériaux et leurs procédés de fabrication avec une implication du début à la fin, du 1er contact avec les clients jusqu’à la finalisation du produit. L’ingénieur n’est pas forcément seul dans son laboratoire, son travail peut avoir de multiples facettes.

Voici un exemple de parcours, mais il existe d’autres voies dans différentes écoles, d’autres parcours et d’autres voies d’accès pour devenir ingénieure. Cet exemple permet aussi de comprendre que chaque élève doit construire son orientation selon ses envies et ses capacités et non selon des aprioris.

  1. L’UTBM

Projection d’un film réalisé par l’UTBM pour présenter la structure : https://www.youtube.com/watch?v=c-lx20BiQy4

Conception par ordinateur, maquettes en réel, travaux en lien avec l’établissement Espera Sbarro de Montbéliard, travaux autour de l’énergie, du ferroviaire, du transport, de l’aérospatial … Les domaines d’application sont nombreux !

L’UTBM comprend 3 sites selon les départements :

Montbéliard est plus axé sur le virtuel, le design et l’ergonomie, Sevenans comprend les laboratoires ainsi que les modes d’obtention des pièces (procédés), Belfort le suivi de production et l’énergie. Tous les corps de métiers sont représentés : transport ferroviaire, aérien, nucléaire, chercheur …

Il est important de noter les liens avec l’industrie et une ouverture à l’international qui profite aux élèves qui peuvent envisager des stages à l’étranger, des contacts avec le des structures comme le CERN, voire des doubles diplômes.

Il est important dans ce cadre de bien maîtriser l’anglais. De nombreux étudiants qui font leur stage à l’étranger y trouvent un emploi (30% embauchés à l’étranger).

  1. Le mémoire

Lors de son parcours Amela a dû produire un travail de recherche sur le sujet de son choix. Son mémoire porte sur le genre dans l’enseignement supérieur : L’évolution des inscriptions des femmes en cycle ingénieur (à partir de bac+3) à l’UTBM de 20017 à 2017. Elle y a abordé l’histoire de l’évolution des droits des femmes mais aussi plus particulièrement les femmes en filière scientifique. Les inégalités ont tendance à baisser, mais elles persistent : seulement 8% de femmes inscrites à Polytechnique, 7% à l’UTBM en 2007, 15% en 2017. Les chiffres sont en hausse, mais stagnent actuellement et cachent des inégalités selon les départements (20% de femmes dans le département Ergonomie, Design et Ingénierie Mécanique contre seulement la moitié en Génie Mécanique et Conception).

Notons que l’UTBM met en place des séminaires, des conférences, des campagnes d’affichage pour attirer les femmes. Il y a encore beaucoup de préjugés qui empêchent de nombreuses étudiantes de choisir ces filières.

  1. Quizz

Pour questionner ces préjugés qui persistent et les éléments qui nous poussent à les entretenir, Amela a animé un quizz avec les élèves pour souligner les inégalités qui existent encore dans la société, des petites choses au quotidien qui nous semblent anecdotiques mais qui s’accumulent et forment un système de pensée où les femmes sont systématiquement minoritaires : Proportion de noms de rue portant un nom de femme, de station de métro, nombre de femmes au Panthéon ou primées à Canne, pourcentage de femmes maire, etc.

Les élèves ont pu découvrir de fortes inégalités au quotidien, qui passent inaperçu et modèlent pourtant nos représentations :https://www.youtube.com/watch?v=Fenhixn7q0o

  1. Ouverture

A la suite du quizz, les élèves ont pu échanger sur d’autres lieux d’inégalités : au travail (salaires inférieurs pour poste égal), dans la culture, le sport, la politique, etc.

Les inégalités sont encore présentes, c’est l’affaire de tous de faire en sorte qu’elles disparaissent.

Merci beaucoup à Amela qui a pris le temps de préparer ces rencontres et a passé la journée au collège pour rencontrer et motiver nos élèves !

Présentation du projet : »Femmes : de quel genre êtes-vous ? »

Lundi 17 décembre 2018

 

Présentation du projet : »Femmes : de quel genre êtes-vous ? »

 

Pour présenter le projet aux élèves, nous accueillons au collège Mélanie Boulanger qui représente la Poudrière, Claire du duo Komorebi et Axelle de Studio Sauvage.

L’Espace Multimedia Gantner n’a pas pu être présent aujourd’hui mais les élèves connaissent la structure et rencontreront prochainement Sophie Monesi qui nous présentera des œuvres de l’exposition.

Le dernier partenaire non présent est les Musées de Belfort qui nous fera l’honneur de nous prêter l’oeuvre de Barbara « Savoir c’est pouvoir ».

Le projet :

 

Mélanie présente plus en détail le projet qui s’appuie sur la Poudrière dans le cadre du dispositif financé par la DRAC « La parole aux collégiens ».

C’est un projet interdisciplinaire comme les élèves ont déjà pu le remarquer. En plus des interventions dans différentes matières ils bénéficieront de l’intervention d’artistes :

Komorebi en 3A

Studio Sauvage en 3B

Les interventions se dérouleront tout au long de l’année, les élèves seront amener à produire un travail qui reflétera leur réflexion sur la représentation des femmes.  Le résultat sera présenté sous la forme d’un concert et d’une exposition à la Poudrière le lundi 17 juin à 18h (tous à vos tablettes, retenez la date !).

Mélanie échange avec les élèves : qui à déjà été à un concert ? Où ? Connaissent-ils la Poudrière ?

 

Komorebi

 

Claire présente le duo, composé de sa partenaire Clara et d’elle-même. Pour commencer la présentation, un 1er échange avec les élève autour du nom du groupe :

Qu’est ce que ça vous inspire ? Quelle langue ?

-> c’est un mot japonais, mot intraductible, intraduisible par un seul mot :

La lumière du soleil qui traverse le feuillage des arbres.

Chaque culture possède ces mots intraductibles. C’est la base du projet Komorebi. Ca c’est le concept, qui se traduit sur scène par de la musique électro, plus précisément de la poésie électronique.

Le duo est mu par des concepts clé :  amour, partage, vivre ensemble. Dans cette idée les artistes ont choisi 12 mots sur scène, 12 intraductibles qui ont donné lieu à 12 morceaux.

Pour mieux faire connaissance Claire nous montre 2 vidéos :

-> clip :  https://www.youtube.com/watch?v=t4UPhGP1quo

->live : https://www.youtube.com/watch?v=qiyngHo2zSQ

 

Sur scène elles travaillent avec un contrôleur, une batterie, des claviers …. et leurs voix.  L’univers visuel est très travaillé, le mot est projeté au début de chaque morceau pour permettre aux spectateurs de se projetter dans leur univers.

A noter que le  projet est pluridisciplinaire, les 12 mots sont aussi traduits en cartes postales qui reprennent les 12 morceaux du concert. Les mots ont été confiés à des artistes qui ont donné leur interprétation.

 

 

Studio sauvage

 

Présentation :

Axelle, est l’un des 2 membres du studio.

Leur travail est varié : créations, déco, graphisme (ex :  affiche du Fimu, logo, flyers, pochettes de disque).  Il s’agit surtout de la sérigraphie  : impression en série d’un visuel.

Leur site :

https://www.studiosauvage.com/

    

Exemple :  Marilyn :

https://www.shop-studiosauvage.com/serigraphies/marylin

-> C’est une citation de Warhol* pour Octobre rose : un mois consacré aux femmes atteintes du cancer du sein. Cette reprise d’une icône de la femme permet de sensibiliser à une cause importante.

 

La sérigraphie : 

En sérigraphie on travaille avec des encres. C’est plus épais que la gouache et s’utilise avec des écrans d’impression (qui ont des trous).

Cette technique permet de travailler les formes, couleurs, mots, textures ….

En sérigraphie le travail de texture est important, on ne trouvera pas l’équivalent ailleurs par exemple en imprimant en blanc (difficile avec une imprimante !), un travail de texture avec une encre argentée qui aura des reflets,  des dorures, une encre qui gonfle …

Un peu de vocabulaire : on travaille sur des écran, l’encre sera posée sur l’écran avec une racle.

La particularité de la sérigraphie est justement une grande richesse de travail des encres, par exemple on peut travailler avec des encres phosphorescentes :

 

Les élèves seront invités à réaliser des propositions par binôme et à réaliser une oeuvre commune. On travaillera autour du sujet de la femme,  notamment à partir de l’oeuvre de Kruger qui sera prêtée par les Musée de Belfort :

https://www.centredelagravure.be/fr/works/11707-savoir-c-est-pouvoir-estampes-et-revolution-200-ans-apres

 

Nous travaillerons sur papier mais on peut aussi travailler sur du tissu.

Exemple du t shirt « the futur is female », créé par Jane Lure pour financer sa librairie féministe.

https://www.shop-studiosauvage.com/textile/the-future-is-female

 

Aux élèves maintenant de s’approprier ce sujet et de réfléchir à leur point de vue sur cette question.

Nous retrouverons prochainement les artistes pour commencer les ateliers.

 

Merci aux artistes et à nos partenaires pour ce premier rendez-vous, nous avons hâte de commencer le travail !

 

 

  Atelier n°2 «Cabinet de curiosités » en 5D avec Simone Découpe

 

  Atelier n°2 «Cabinet de curiosités » en 5D avec Simone Découpe

 

Lundi 3 décembre.

Dans le cadre du projet « Cabinet de curiosités » les élèves reçoivent à  nouveau l’artiste Simone Découpe.

-> http://simonedecoupe.com

La première moitié de la classe sera en atelier le matin avec Mmes Lloret et Rayot, le second groupe l’après-midi avec Mmes Lepera, Trimaille et Lloret.

 

Point sur le travail :

 

A. Travail effectué pour l’atelier :

Les élèves présentent les dessins d’insectes -qui font bien peur cette fois ci- afin d’en réaliser une linogravure.

Ils sortent les cadres et images apportés. La récolte n’est pas suffisante, il faudra davantage fouiller les greniers et caves pour la prochaine venue de Simone ! Simone a fait ses devoirs et apporté un cadre qui permettra de valoriser les productions .

Certains ont choisi des images qui pourront donner lieu à des découpes, comme la chimère de Timeo ou le cochon a deux tête trouvé par Régis.

 

B. Rappel des ateliers  :

Les élèves vont travailler en se répartissant en 3 ateliers, si possible en changeant par rapport à la séance précédente :

 

  1. Gravure : linogravure du dessin de l’insecte. Simone nous rappelle le principe de la gravure dans du lino.
              Une plaque de lino sur laquelle l’insecte à été reporté avec du carbone. 

     Attention aux doigts ! 
Simone explique les étapes de l'impression :     
  1. Découpage pour faire des tableaux lumineux :Simone a apporté des exemples, ceux qui ont apporté des images peuvent se lancer avec leur modèle. D’abord on reporte le modèle avec du papier carbone, puis avec un scalpel ils découpent, enlèvent ce qui est en noir. Quand c’est fini on scotche le calque à un cadre et on met la figure derrière.

   

  1. Sculptures en papier

Simone a préparer de quoi réaliser des insectes géants.

 

  

Mise au travail !

 

  1. Groupe 1 découpes :

 

Chaque élève a choisi une image et effectue les découpes.

 

  

Tania travaille à partir de l'image choisie par Timéo :  

     

     

  1. La linogravure

Simone présente les gouges pour graver. Les dessins à graver sont sélectionnés. Les élèves placent le papier carbone sur le lino, au dessus du papier carbone mettent leur animal. ils repassent sur les contours de leur animal, celui-ci apparaît sur le lino. puis avec la gouge ils creusent de chaque côté des traits.

Cette fois-ci on imprime les travaux précédents avec la presse pour mieux comprendre les enjeux du travail.

 

   Simone fait la démonstration de l’usage de la presse.

Les élèves se mettent à l'impression : 
on encre, on pose la plaque, puis un papier, on active la presse et enfin on découvre son 
imression. 

 

 

3.Groupe 3 : insectes

Simone à amené un gabarit géant, aux élèves de lui donner forme.

 

  Certains groupes ont choisi de donner de la couleur aux insectes.   

 

  

 

 

   Merci à Simone Découpe pour cette intervention, rendez-vous en janvier pour la suite du travail.

 

Atelier n°1 «Cabinet de curiosités » en 5D avec Simone Découpe

     

  Atelier n°1 «Cabinet de curiosités » en 5D avec Simone Découpe

 

Lundi 13 novembre.

Dans le cadre du projet « Cabinet de curiosités » les élèves reçoivent à  nouveau l’artiste Simone Découpe. La première moitié de la classe sera en atelier le matin avec Mmes Lepera, Rayot et Trimaille, le second groupe l’après-midi avec Mmes Chauvin et Lloret.

 

Explications :

Rappel du travail convenu :

Les élèves vont travailler en se répartissant en 3 ateliers :

 

  1. Gravure : linogravure du dessin de l’insecte. Simone nous rappelle le principe de la gravure dans du lino
              Une plaque de lino sur laquelle l’insecte à été reporté avec du carbone. 
  Attention aux doigts ! 

 

 

  1. Découpage pour faire des tableaux lumineux :

 

Simone à apporté un cadre avec une feuille de calque qui remplace le verre. Cette structure forme un cadre lumineux comme théâtre d’ombre.

Devoirs : apporter de vieux cadres pour le 3 décembre.

 

    Ce cadre acceuillera une image découpée au scalpel. Pour aujourd’hui Simone à préparé des pochoirs.

 

 

 

  1. Sculptures en papier

Simone a apporté un ouvrage sur le kirigami. Les élèves devront transposer le modèle et le mettre en volume.

 

La séance est consacrée à la découverte des techniques.  Aujourd’hui on apprend, les réalisations ne seront pas forcément dans l’exposition, on peut se tromper …. mais on s’applique pour apprendre les techniques !

 

Répartition par ateliers.

 

Mise au travail !

 

  1. Groupe 1 Nautilus :

Les élèves ont réalisé le pochoir d’un nautilus (coquillage). C’est un 1er exemple.

Avec un scalpel ils découpent, enlèvent ce qui est en noir. Quand c’est fini on scotche le calque à un cadre.

Puis on met derrière le cadre le calque puis encore derrière la lumière …. On peut ainsi apprécier les jeux d’ombres !

   

                       

 

  1. La linogravure

Simone présente les gouges pour graver. Les dessins à graver sont sélectionnés. Les élèves placent le papier carbone sur le lino, au dessus du papier carbone mettent leur animal. ils repassent sur les contours de leur animal, celui-ci apparaît sur le lino. puis avec la gouge ils creusent de chaque côté des traits

Attention, les insectes dessinés par les élèves sont très jolis, or les devoirs étaient de faire un insecte EFFRAYANT !

→ Devoirs pour le 3 :

Dessin d’un insecte qui fait Vraiment peur

… et en plus Chercher un idée à mettre dans le cadre (cf travail sur le Nautilus).

 

      

     

 

3.Groupe 3 : insectes

Simone à amené un gabarit. Les élèves tracent sur le gabarit posé sur un papier carbone qui lui même est sur un papier de couleur.

Le principe est de reporter sur des feuilles de couleurs le gabarit puis on assemble.

Le gabarit ne comporte que la moitié de l’insecte, il faut plier la feuille de couleur, placer le papier carbone puis le modèle.

 

 

  

 

 

 

 

Merci à Monsieur Michelat qui est venu s’intéresser au travail de nos élèves !

Merci à Simone Découpe pour cette intervention, rendez-vous en décembre pour la suite du travail.

 

 

Exposition au CDI « La tête de l’emploi »

Exposition au CDI « La tête de l’emploi »

Dans le cadre du projet « Femmes : de quel genre êtes-vous ? » les élèves de 3eme ont découvert au CDI l’exposition empruntée par Madame Chauvin, référante à l’égalité filles / garçons à la Direction régionale aux droits des femmes et à l’égalité.

http://www.ac-besancon.fr/spip.php?article108

 

 

 

Cabinet de Curiosités : Simone Découpe

   Ce jeudi 4 octobre, dans le cadre du projet « Cabinet de curiosités » avec les 5D, Mesdames Lepera, Lloret et Trimaille, nous avons reçu la visite de l’artiste Simone Découpe ! 

Lien vers la page Facebook des arts plastiques pour l’article en images :

https://www.facebook.com/aubrac.artsplas.3/posts/292699781551246

Simone Découpe 

I. Présentations

L’artiste se présente : Simone Découpe est un nom d’artiste. Elle travaille le papier découpé avec un scalpel. Cet outil est aussi utilisé aussi en science (en SVT par exemple !) et médecine (les chirurgiens). 

Simone nous montre des exemples d’oeuvres. Les inspirations viennent des domaines de l’entomologie, des plantes, des sciences, du règne animal : 

des coqs, une dissection de grenouille …. On retrouve des éléments de dentelle ornementale et des animaux. 

Pour présenter les oeuvres, elle place le papier entre 2 verres. Il y a des petits et très grands formats. 

Pour les très grands, elle plie le feuille à la manière des ribambelles que l’on fait quant on est petit. 

Fait notable, Simone vient du spectacle, à la base elle est marionnettiste. C’est en s’intéressant aux décors qu’est venue cette passion du papier découpé. 

On retrouve dans l’iconographie beaucoup d’insectes et d’animaux car c’est intéressant graphiquement : plumes, poils détails évoquent la dentelle. 

Combat de coq

Un exemple sur du papier journal mis sur un fond noir pour double lecture de l’image. 

Un autre exemple exposé dans le Nord-pas-de-Calais avec du papier blanc sur fond noir. 

De GROS mobiles ! 

Un travail pour une compagnie de danse : un costume en papier découpé ! Le papier fragile entraîne une chorégraphie particulière. 

Après ces exemples projetés l’artiste déroule un découpage : attention aux ombres que laisse le papier ! 

II. Le projet

Les élèves se sont rendus lundi au Musée de Montbéliard  : 

Liens vers les images sur Facebook (uniquement pour les contacts) :

http://<iframe src= »https://www.facebook.com/plugins/post.php?href=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2Faubrac.artsplas.3%2Fposts%2F290802531740971&width=500″ width= »500″ height= »605″ style= »border:none;overflow:hidden » scrolling= »no » frameborder= »0″ allowTransparency= »true » allow= »encrypted-media »></iframe>

Suite à la visite de lundi : qu’est-ce qu’un cabinet de curiosités ? 

-> réponses des élèves :

Des objets hors du commun, classés, bien présentés dans un meuble / une armoire, plein d’animaux naturalisés. 

Dans un cabinet de curiosité on peut trouver des choses plus étranges, dans le formol, on peut aussi y intégrer des chimères. Il y a des objets étonnants. 

=> On va constituer le Cabinet de Curiosités des 5d avec 3 techniques :

1. La Gravure

Les élèves expliquent ce qu’est pour eux la gravure, notamment à partir d’exemples vus au musée.

Dans notre cas il s’agira de LINOGRAVURE. Il faudra graver une plaque de lino avec une gouge qui sert à creuser, enlever de la matière. C’est comme un tampon, on laisse le dessin. Ensuite on passe à la presse.

Exemple : ce qui est bleu na pas été creusé. 

Les élèves devront  inventer le motif qui sera gravé :

Créer les insectes les plus dangereux de la planète ! 

 

Les élèves vont réaliser plusieurs planches entomologiques. 

-> devoirs pour la prochaine venue de Simone en novembre : sur une feuille Canson, dessiner un insecte imaginaire sur la 1/2 de la feuille et légender sur l’autre moitié en notant son nom, ses caractéristiques, son lieu de vie ….

2.  Des cadres lumineux :  petite scènes de monstruosités

Il s’agira de montrer des monstruosités que la nature a créé comme des siamois. 

On peut penser aux anciens freaks show où des personnes avec des particularités physiques étaient montrées à la foule.

Avec Simone nous réaliserons un cadre en bois, on y colle du calque qu’on découpe. On orne et ajoute des figures monstrueuses.

3. Des globes

On va acheter des globes et, créer des sculptures d’insectes, du kirigami, l’art japonais du découpage.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Kirigami

Les découpages seront faits à partir de papier imprimé (bouteilles, journaux …). Les animaux ainsi créés seront présentés sous cloche (comme dans le bureau de Cuvier au Musée).  

=> Tous les élèves expérimenteront les 3 ateliers. 

Les élèves donnent leurs idées par exemples des exemples de poissons à trois yeux comme dans les Simpsons,

on peut penser au personnage d’Elephantman un homme difforme mais aussi à l’univers des super héros :  Spiderman, wolverin : les élèves connaissent des exemples d’humains croisés avec d’autres choses pour avoir des pouvoirs. 

Les élèves connaissent déjà des monstres.

III. Travaux des élèves

Les élèves montrent les travaux réalisés lors de l’atelier au Musée lundi.

Avant de se quitter, petit rappel des devoirs :

Pour le 14 novembre : 

Dessiner une chimère uniquement à partir d’insectes. Le plus dangereux possible.

Les légender en notant les caractéristiques. Préciser son nom, son lieu de vie, son alimentation.

N’oubliez pas les larves.

Format A4, sur une feuille canson dessiner sur la moitié, noter les caractéristiques sur l’autre moitié.

Merci à Simone pour cette belle présentation, nous l’attendons de pied ferme en novembre pour commencer les ateliers !

Visite des 5D au Château de Montbéliard

Lundi 1er octobre

Visite au musée de Montbéliard

Dans le cadre du projet « cabinet de curiosités  » les élèves de 5d se rendent au château découvrir la collection Cuvier et la collection des beaux arts avec Mesdames Chauvin, Lepera, Lloret et Trimaille . Les élèves se scindent en 2 groupes, un groupe visitera d’abord la partie des Beaux Arts tandis que l’autre commencera par la partie Histoire Naturelle, puis nous inverserons. 

Images :

https://www.facebook.com/media/set/?set=a.291082855046272&type=1&l=96a8ab74bc

La collection des Beaux Arts

Visite musée d’art par Sylvie Biron : 

Le château regroupe en un lieu plusieurs collections : 

  • La galerie Cuvier en histoire naturelle avec la faune locale
  • Une collection en art où l’on peut voir des peintures, des sculptures, de la céramique, des gravures, de la photographie…
  • Une collection d’archéologie 

 

A. Parcours dans le musée

Le parcours de ce matin doit permettre un inventaire, notamment en lien avec le cabinet de curiosités.

Salle 1 : présentation du château dans la ville, son histoire par des maquettes, des tableaux …. 

Les œuvres sont encadrées pour être protégées et mises en valeur. Les élèves sont invités à observer chaque oeuvre et à les décrire avec le bon vocabulaire. 

 

Première œuvre : un dessin a la plume, en couleur (aquarelle).

La ville est représentée avec le château au dessus. Fait particulier, un arbre très grand est dans la cour. Les personnages sont disproportionnés, ce n’est pas une représentation des plus fidèles de la réalité.  Il y a une multitude de détails : des nobles, des paysans, les jardins mais aussi le gibet.

 

Deuxième œuvre une cheminée en pierre :  


elle est très imposante : monumentale, du type que l’on trouve dans des maisons bourgeoises ou des châteaux. Celle-ci provient dune maison bourgeoise.
Elle est couverte de personnages : 

Sur les 2 colonnes on a l’impression que 3 personnages sont représentés, mais sans jambes remplacées par des sortes de têtes qui ont des ailes, une couronne, des bouches qui grimacent, sont monstrueuses, très expressives. Il y a un mélange entre réel et imaginaire. 

Les deux personnages au dessus semblent représenter un homme et une femme très sérieux, droits. Les bras soutiennent la cheminée : les figures sont arrangées pour soutenir l’architecture

-> dessin d’un détail

Un scribe est choisi pour noter :

Technique : un dessin a la plume et a l’aquarelle / sculpture

Matériau:papier/ pierre

Sujet : Montbéliard / figures

Réaliste : ressemblant / figures réelles et imaginaires

 

Salle 2

Un tableau : 

C’est une peinture, qui montre un monsieur jeune, en costume, qui a l’air triste dans sa chambre, installé sur son lit. Dans la chambre à droite on voit un bureau avec des ouvrages ouverts, des étagères couvertes de livres.  Sur le bureau une plume nous indique la période, confortée par la
présence du haut de forme et des gants. On devine une ville par le fenêtre. Le plafond est mansardé, il est sous les toits. Il n’est pas fortuné malgré sa belle tenue. Le tapis est défraîchi, le lit n’est pas luxueux, le tabouret non plus, c’est en désordre. Il prend son café sur le bureau. C’est probablement un étudiant a Paris.

Il tient une rose dans sa main, évoquant une relation amoureuse. Il a manifestement un tristesse amoureuse :

Son regard regard est baissé, tout son corps est affaissé, il regarde sa rose. Son regard nous mène vers cet objet. C’est peint dans des couleurs froides ce qui accentue la tristesse. Le titre confirme nos observations :  Lendemain de Bal, Charles Weisser

On comprend qu’il na pas quitte son beau costume et est perdu dans sa pensées.

 

Après ce travail collectif les élèves sont repartis par groupes pour travailler autour dune œuvre : 

Antoine Etex, l’Amour pique par une abeille, marbre blanc et socle en marbre, 1860

Jean Georges Berdot, Alexandre le grand faisant des libations devant le tombeau Achille, c 1649

Charles Weisser, l’atelier du sculpteur Armand Bloch

Louis-Aimé Japy, Vallée du Lomont, 1879

 

Restitution

1. Louis-Aimé Japy, Vallée du Lomont, 1879 :

Peinture sur toile, paysage, l’horizon est bas, sa ligne met en valeur le ciel. L’oeil est attiré par la bergère et les chevaux sous un grand arbre.

 

2. Jean Georges Berdot, Alexandre le grand faisant des libations devant le tombeau Achille, c 1649 : 

Le regard est attiré au 1er plan par des statues en train de se battre, mais le sujet est derrière. Les personnages sont habillés en armures antiques. C’est une scène officielle, historique, importante. Le décor est grandiose.

C’est réaliste mais composé à partir d’éléments qui existent dans divers endroits du monde, ici regroupés de façon artificielle c’est donc un caprice architectural. Le peintre fait une démonstration de technique et de connaissances dans un goût de l’antique.

 

3.Antoine Etex, l’Amour pique par une abeille, marbre blanc et socle en marbre, 1860

Sculpture qui représente une femme et un enfant, Cupidon.  Sujet mythologique. Cupidon est le dieu de l’amour qui rend les gens amoureux grâce a son arc et ses flèches. La femme protège, soutient l’enfant qui grimace car il a mal, piqué par une abeille. Sa mère le protège, c’est Vénus.  Cette histoire était racontée dans un poème : ils se promènent, Vénus cueille des roses tandis que Cupidon s’approche dune ruche attiré par le miel. Ce jour là c’est lui qui se fait se piquer.  Or c’est un dieu, il ne devrait pas avoir de douleur. Venus le console : c’est lui qui pique, cette fois ci c’est lui qui reçoit la piqûre, c’est aussi une façon de parler de l’amour qui peut être doux comme le miel mais piquer aussi.

La sculpture est réaliste au niveau des proportion, de la facture.

Les figures sont nues pour montrer une virtuosité technique tant pour la douceur de venus que pour la précision du drapé.

 

4. Charles Weisser, l’atelier du sculpteur Armand Bloch

Peinture sur toile, représente une homme en train de sculpter dans son atelier. Les fenêtres sont hautes, on imagine un sou sol.

Le peintre insiste sur les objets et le geste du sculpteur. On voit de nombreux outils et des copeaux de bois au sol.

Réaliste.

 

B. Atelier autour d’une Harpie 

 

Nous nous déplaçons dans une salle de travail. Une gravure est montrée aux élèves qui doivent répondre aux questions vues dans la matinée : sujet, technique …

Technique : gravure, la couleur est uniforme, il y a un titre et du texte,.sur papier.

C’est comme un journal, imprime pour informer d’événements : une harpie vue au Pérou. L’histoire est racontée a côté.

La couleur est ajoutée au pochoir, après l’impression. C’est de l’imagerie populaire, pour tout le monde.

Sujet : chimère, créature monstrueuse.

Réaliste ? Par endroits la facture est réaliste, par d’autres le dessin devient plus schématique. De nombreux éléments ne semblent pas crédibles :

Des ailes de chauve souris, des cornes de taureau pour encorner des ennemis, la partie basse du corps de poisson avec des écailles pour aller dans l’eau (elle vient du lac), devient 2 queues dont lune se termine par une pique comme un scorpion pour attraper, pincer, transpercer, étrangler …Des pattes de tigre ?griffues comme un aigle, presque palmées, de crocodiles …. Un visage humain, un buste de femme, une longue chevelure, des dents et des oreilles pointues …. 

 

Après une pause déjeuner, c’est la reprise de l’atelier : 

Sylvie  Biron montre une série d’images représentant des portraits, du réaliste au stylisé pour montrer ces écarts au réel dans la façon de représenter que l’on retrouve sur cette gravure. 

Des images d’animaux sont accrochées. Chaque élève en choisi un comme point de départ de sa création. Ils doivent créer leur chimère à partir d’un animal existant .

 

 

La collection Cuvier

 

Nous nous rendons au dernier étage du musée découvrir une pièce particulière avec notre guide François Thirion.

Qu’est-ce qu’un cabinet de curiosités ?

Discussion avec les élèves : on y met plein d’objets, ça peut être dans un meuble ou dans une salle. Ce sont les ancêtres des musées.  Tant que l’objet surprenait il pouvait rentrer dans la collection. Les musées ont du faire des choix.

Exemple d’une vitrine :

Un thème : les animaux

Trois groupes en haut : les articulés, les mollusques, les rayonnés , les vertébrés en bas.

-> Une organisation en 4 groupes, suivant les conseils de Georges Cuvier. Il a amène l’anatomie comparée et la classification des animaux.

 

Nous nous appuyons sur cet accrochage pour réfléchir à cette classification :

Les vertébrés ont tous un squelette interne.

Les articulés ont une carapace articulée ; aujourd’hui ont les appelle arthropodes. 

Les mollusques n’ont pas dos, un corps mou.

Les rayonnés est un groupe qui n’est pas juste scientifiquement aujourd’hui.

 

Exercice à partir d’un moulage de fossile :

nb : un moulage de fossile aussi est un vertébré.

Comment placer le genou ?

On part de la tête, et on poursuit les éléments : le cou, la colonne vertébrale, le bassin, le fémur, le tibia, le genou …

 

2eme salle :  Comprendre les classifications

L’arbre de vie : 

François Thirion nous explique comment lire cette classification à partir de boîtes :

Les animaux sont des métazoaires, en son sein on redivise en boites.

Exemple : 

Les craniates : leur point commun est d’avoir un crâne, les craniates peuvent être vertébrés et myxines.

Dans les vertébrés, les glatostomes et les lamproies : ils ont tous crâne et colonne.

Les glatostome : ont une mâchoire. (+sang rouge) et  se redivisent : la famille des requins, les ostéichtyens qui ont du cartilage / actinoptérygiens (poisson rouge)/ les sarcopterygiens (cœlacanthe)

 

Autre exemple : Les arbres des mammifères

-> fiches rechercher 13 et 23

Enn2001 Dans la ligne 13 on mettait les chiroptères et les dermopteres

En 2017 ils sont séparés …

Exercices a partir des tableaux : repérer les différentes familles. 

Exercice a partir d’images de squelettes de dragons : lesquels sont crédibles, lesquels sont impossibles ? 

Ils ont bien un crâne, une colonne , une mâchoire, des membres, sur terre.mais un dragon a 6 pattes, ce qui n’existe pas chez les vertébrés.

 

Salle 3

Ronchamp, Noirefontaine, Froidefontaine…. la salle contient des animaux régionaux .

Un exemple à partir d’un animal exposé : quel est cet animal ? 

Les poissons et les requins respirent grâce aux branchies.

Celui-ci a des narines, il doit donc remonter à la surface pour respirer. Ce n’est pas un dauphin car sa queue est horizontale contrairement au fossile qui a une queue verticale. Un élève compare au tortue : c’est en effet un ichtyosaure, lézard des mers.

 

Atelier :

Les élèves découvrent les diverses salles et les collections. Ils doivent choisir un objet qu’ils trouvent intéressant pour figurer dans leur cabinet de curiosité.

-> travail de dessin